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Qualité de l'air : un taux de CO2 dans l'air de 900 ppm à ne pas dépasser

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La crise du coronavirus a généré plusieurs prises de conscience, notamment celle de la qualité de l’air dans lequel nous vivons. On sait que la ventilation a joué un rôle majeur dans la transmission. D’où l’idée de mieux gérer l’air que nous respirons grâce à la mise en œuvre de capteurs de CO2.

Réduire les concentrations de CO2 dans les pièces de vie : voilà ce qui permettrait de réduire les risques de transmission de la COVID à l’intérieur des bâtiments. Dans ce cadre, il serait utile selon Sciensano de recourir à des capteurs de CO2 qui permettraient de mesurer la qualité de l’air. Dans l’idéal, le taux de CO2 ne devrait pas dépasser les 900 ppm (parts par million).

Espaces mal ventilés

Si on en croit les spécialistes, les espaces qui renseignent un taux compris entre 900 et 1200 ppm de CO2 doivent être considérés comme mal ventilés. La qualité de l’air y est donc insuffisante. C’est typiquement le cas des salles de banquet ou des centres de fitness. Les capteurs y deviendront obligatoires à partir du 9 juin 2021 du reste. Cela dit, on doit clairement se poser la question de l’utilisation de pareils capteurs au sein des établissements de soins. Car ils peuvent apporter de précieux renseignements quant à la bonne gestion des locaux. Il est clair que les établissements qui disposent déjà de systèmes de ventilation ne doivent pas en rajouter : la qualité de l’air est déjà mesurée et le système veille à le renouveler suffisamment en fonction des données récoltées. Dans ce cadre, WALLONIE SANTÉ peut apporter son soutien dans l’installation de ces dispositifs, notamment grâce au prêt Green Health à taux planchers. N’hésitez pas à surfer sur la page dédiée de ce produit pour tout savoir.

 


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